Olivier Sillig
Revue de Presse parmi, entre autre : Le MondeLe TempsLe Magazine littéraire, L'HebdoLe Dauphiné-libéré, Le CourrierLa LibertéVigousse, Le Culturactif, La TSRLa RSR1, La RSR2, La Librairie francophone, d'autres et, enfin,  Modes et Travaux.

Revue exhaustive >
Selection d'extraits, par titre :

BZJEURD 1995 :Nous émergeons de ce livre comme un plongeur des eaux profondes, avec pour longtemps en mémoire la vision de merveilles et d'épouvantes lLe Dauphiné-libéré).  LA MARCHE DU LOUP (2004) Florence Heiniger, le livre que vous auriez voulu écrire? Les Bébés de la consigne automatique  de Ryû Murakami ou La marche du loup d'Olivier Sillig (Le Matin / TSR- Sang d’Encre). JE DIS TUE À TOUS CEUX QUE J’AIME (2005) : tout est flottant dans ce drame drôle et cocasse qui, s’il est nimbé  d’absurde, n’en est pas moins très humain et  singulièrement beau (La Liberté). DEUX BON BOUGRES (2006) : le ton étonnant qui laisse la lumière, l'amour, le sens de la réparation, la liberté, la vie en un mot éclater de bout en bout en font un roman exceptionnel (Le Passe-Muraille). LYON, SIMPLE FILATURE (2008) : Cette enquête autour de l'absence, c'est presque la matrice ou l'épure du roman policier, mais aussi l'exploration sensible des détresses de l'enfance (Le Dauphiné-libéré). LA CIRE PERDUE (2009) : un conte qui se lit avant tout dans une sorte de joyeuse hallucination (La Liberté). SKODA (2011) : Juste le récit d'un acte d'amour sans concession dont le pari tient l'homme debout (Le Monde). LA NUIT DE LA MUSIQUE (2013) : …d'une partition à l'autre, la même radicalité et la même foi dans la puissance de la fiction (Le Monde). LE POIDS DES CORPS (2014) : A la fois noir et très touchant (Le Courrier). JIMINY CRICKET (2015) : C’est lumineux, mélancolique, sensuel, osé. Sans doute le plus beau livre de Sillig (L’Hebdo).  JAMBON DODU (2016) : un policier jouissif, absurde et décalé (Sélection au Prix des lecteurs de la Ville de Lausanne). Gavroche 21.68 (2018) : Entre conte, épopée et roman de science-fiction, qui porte un regard sans concession sur une société futuriste pas si éloignée de celle que nous connaissons (La Cinquième Saison). LE MONDE EST MA RUELLE(1919) : Gracieux et tragiques instants volés et sauvés de l'oubli, galerie de portraits poétiques qui donnent envie de partir ou de repartir (Le Courrier de Genève).  LES LIMBES DE BZJEURD 2021 : Dans le genre, voici un chef-d’œuvre.

 

Revue la plus exhaustive possible :

Ordre chronlogique par livre : extraits, liens sur les articles complets :
             Les Limbes de Bzjeurd, (Hélice Hélas 2021)

·       Le Monde est ma ruelle, (Éditions de l'Aire 2019)

·       Gavroche 21.68, (Hélice Hélas 2018)

·       Jambon Dodu, (Hélice Hélas 2016) 

    Le Poisson Tricolore, (l'Âge d'homme 2016)

·       Jiminy Cricket, (l'Âge d'homme 2015)

·       Le Poids des corps, (l'Âge d'homme 2014)

·       La dame de l'ascenseur, illustré par Fanny Dreyer (La Joie de lire 2014).

·       La nuit de la musique (Encre fraîche 2013)

·       Skoda (Buchet Chastel, 2011)

·       La Cire perdue (Bernard Campiche Éditeur, 2009)

·       Lyon, simple filature (Encre fraîche 2008)

·       Deux bons bougres (Encre fraîche 2006)

·       Je dis tue à tous ceux que j'aime (Éditions H&O, 2005)

·       La Marche du Loup  (Encre Fraiche, 2004)

·       Bzjeurd  (L'Atalante 1995, Folio 2000)

·       Articles généraux

 

 


 

Les Limbes de Bzjeurd

   

La liberté, Thierry Raboud, 11 décembre 2021 :  Un diptyque cohérent, saisissant panorama de la dévastation où la civilisation ne tarde pas, elle aussi, à sombrer: «Qu’il y a peu de l’homme au singe!»

    

Vigousse No 517,  Stéphane Babey, 17 décembre 2021  :  Cette dictature invisible, par son aspect kafkaïen, renforce l’originalité de ce livre marquant. 

   

Le Courrier, Amandine Glévarec, le 7 janvier 2022 : [...] rien d'indigeste dans ce diptyque: il se dévore en deux temps trois mouvements, et ne laisse personne sur sa faim.

Blogs :

La viduité : Les limbes de Bzjeurd ou le flottement dangereux, fascinant, du souci de l’autre.

      


Recensions spontanées :

Silvia Ricci Lempen, Kazerm, 25.11.2021 : [...]Ton livre m'a impressionnée par sa teneur philosophique.


Le Monde est ma ruelle


 Le Courrier de Genève, Amandine Glévarec, 19 juillet 1919 :  Gracieux et tragiques instants volés et sauvés de l'oubli, galerie de portraits poétiques qui donnent envie de partir ou de repartir [...]

 La Liberté de Fribourg, Tamara Bongard, le 3 août 2019De la Poésie du quotidien : Les amateurs de Plages de vie de La Liberté devraient se ruer sur Le Monde est ma ruelle d’Olivier Sillig.

 

SEPT, No 28, automne 2019, Jonas Follonier : «Topor disait que les histoires vraies n’ont pas de chute»: Olivier Sillig s’y est tenu à la lettre, au service d’une écriture du réel.

Blogs :

Le blog de Francis Richard, le 9 février 2020 : une grande faculté d'adaptation en voyageant sac au dos, en se logeant quelquefois dans des conditions sommaires ou dans des situations de promiscuité merveilleuse.

 

Les blogs du Temps, Dunia Miralles, le 26 mars 2020Pas de fioritures inutiles, ni de sentiments futiles. Les sentiments, c’est à nous de les ressentir au travers des mots qu’il jette sur ses cahiers. A nous de construire nos propres histoires à partir des courts moments captés, tel des instantanés.

 


 

Gavroche 21.68



 Le Matin, 24 avril 2018 :  l'ouvrage bourré d'humour se dévore, même si l'on n'est pas adepte d'anticipation.

LA CINQUIÈME SAISON n05, novembre 2018Entre conte, épopée et roman de science-fiction, Gavroche 21.68 porte un regard sans concession sur une société futuriste pas si éloignée de celle que nous connaissons.

Blogs :

Le blog de Francis Richard, le 4 avril 2018Dans Gavroche 21.68, Olivier Sillig, qui prouve que son imagination est au pouvoir, révèle au lecteur ce qu'il advient dudit complot, mais le récit des événements fait par la suite ne sera jamais suffisamment clair pour départager la légende de l'histoire...

FATTORIUS , 29 mai 2018 : En 2068, les pavés ont des puces... et l'air est si lourd qu'ils peuvent vraiment voler. Quant à Jacques Chirac, enfin, il a son impasse à Paris dans ce roman.

 


 

Jambon Dodu

24 Heures, Caroline Rieder, mercredi 20 octobre 2016 : Ce polar grand-guignolesque qui se déploie dans le Marais des années 1950-1960 exulte de mots et des jeux qu’ils permettent.


La Liberté, Daniel Fattore, samedi 7 janvier 2017 : Au fil de l'enquête, les décors du Théâtre de la Gaîté et un conte oriental en toc rappellent que tout n'est que comédie prêtant à rire. Tant mieux: le lecteur est heureux de s'en resservir une tranche.

 

Blogs:

Sélection au Prix des lecteurs de la Ville de Lausanne , édition 2017: le onzième roman d'Olivier Sillig est un policier jouissif, absurde et décalé.

Vidéo au Cercle Littéraire : https://www.youtube.com/watch?v=xesehiLyAig&t=2s

Vidéo de présentation :       https://www.youtube.com/watch?v=vy0qaMcVLEQ

Le blog de Francis Richard, le 17 décembre 2016 : …si le lecteur n'a pas lu d'autres livres de l'auteur, il peut même se demander à bon droit s'il est capable d'écrire quoi que ce soit sans y avoir recours. Qu'il soit rassuré, il peut... et même très bien. Quoi qu'il en soit le calembour est dans ce polar l'ingrédient indispensable à sa truculence.


   

Le Poisson Tricolore

 

Arole :Revue « Parole » 2/2016 : Les enfants qui auront la chance de l'avoir entre les mains risquent bien, à l'image du protagoniste, de rester marqués par leur rencontre avec Le poisson tricolore.


 

Jiminy Cricket

 

 Le Temps, Samedi Culturel du temps du 22 août 2015 :  Les 15 coups de cœur du Temps pour la rentrée littéraire : Cette double tension, d’ombre et de lumière, défini le goût qui reste en bouche, une fois la lecture terminée. (L.K.)

Le Temps, Lisbeth Koutchoumoff , Samedi Culturel du 29 août 2015  :  C’est l’histoire d’un envoûtement. Ils existent ces êtres, qui, tels des dieux grecs ou hindous, subjuguent les hommes et les femmes, de tous âges, de tous milieux, qui croisent leur chemin.

Rentrée romande version mâle, Isabelle Falconnier, L'Hebdo. No 26, 3 septembre 2015 :  C’est lumineux, mélancolique, sensuel, osé. Sans doute le plus beau livre de Sillig.

Le Courrier, Marc-Olivier Parlatano, samedi 5 septembre 2015 : Au-delà des péripéties érotiques puis dramatiques, ce roman a pour personnage principal un «météore», un jeune homme voué à brûler prématurément ses ailes, comme si c’était trop beau pour que l’enchantement dure.

Notre Temps, Bernadette Richard, octobre 2015 : De son récit émane une grande tendresse pour des personnages empreints d’illusion et un peu hors du temps, que la réalité rattrape sans ménagement. […] Un roman émouvant, qui met en exergue la vie au-delà de l’adversité.

Le phare n22 / janvier-avril 2016, IR : Un beau roman qui parle avec justesse d’une époque qui semble déjà très ancienne, avec ses rêves et ses égarements généreux. 

 

Radios :

Espace 2, Entre les Lignes, 8 décembre 2015 : ECOUTER [56’]  / La page sur le site de la RTS

 

La Première, Six heures - Neuf heures, le samedi, 21 novembre 2015 : ECOUTER [5’ : 2’40’’- 8’06’’]  / La page sur le site de la RTS

 

Blogs :

FB, Yves Lador, le 20 août 2015 : une histoire d’irréparable et de réparation, de celles qui font dire à la Comtesse de Noailles, Nous n’aurons plus jamais notre âme de ce soir.

Le blog de Francis Richard, le 20 août : Alors qu'il a commencé sur une note somme toute tragique, ce récit se terminera sur une note d'espoir... Ce qui n'étonnera pas le lecteur, frappé par la bienveillance inébranlable de l'auteur, en toutes les circonstances.

FB, Signé Lausanne, la page des bibliothèques lausannoises, 21août 2015 : Cette parenthèse enchantée, dont on sait dès le début qu'elle finit tragiquement, a le goût d'une madeleine nostalgique et vibrante.

Blog de  Jean-Michel Olivier, en partenariat avec la Tribune de Genève, 15 octobre 2015 : se lit comme une fable entendue dans l’enfance, avec émotion et une pointe de nostalgie.

Littérature Romande, Amandine Glévarec, "Jiminy Cricket" d'Olivier Sillig, le 23 novembre  2015 : Un livre comme une offrande, l’occasion de découvrir un Sillig plus humain que jamais, une belle lecture, pour un beau moment.

Littérature Romande, O.Selfie-Cheu, Entretien avec Olivier Sillig, le 23 novembre  2015 : Jean-Sol Partre a dit : « on est condamné à être libre », il faut bien faire semblant.

 


 

Le Poids des corps

 Le Monde des Livres, Philippe-Jean Catinchi, 5 décembre 2014 : …d'une partition à l'autre, la même radicalité et la même foi dans la puissance de la fiction.

 

Le Courrier, Anne Pitteloud, le 12 janvier 2015 (zoom) : A la fois noir et très touchant. > dans le contexte de la page pdf du du Courrier

 

Blogs :  

 

Le Blog de Francis Richard, 20 septembre 2014 : Tout au long de cette histoire noire, où Olivier Sillig confirme, s'il en était besoin, ses grandes qualités de conteur captivant,

littérature Romande, le 14 février 2015 : Un livre doux et calme, au style simple et clair, qui peu à peu gagne en densité, et en intérêt.

 


 

La dame de l'ascenseur

 

Le Monde des Livres, Philippe-Jean Catinchi, 5 décembre 2014 :  fable sur la force de l'imagination et du rêve.

 

Ricochet, août 2014  :  Le jeu subtil entre le texte et l’image, les thèmes abordés avec délicatesse, signent un très grand album sur le deuil et la joie de vivre. Gai et poignant.

 

L’hebdo des notes, octobre 2014 : Il y a beaucoup de sensibilité et de subtilité dans cette façon qu’ont les enfants de partir dans des rêveries où ils remettent la vie en marche.


    

La Nuit de la musique


Vigousse, Alinda Dufey, le 14 juin 2013: : Un récit qui se lit et se vit comme une nuit d'ivresse.

 

      Le Monde des Livres, Philippe-Jean Catinchi, 5 décembre 2014 : …d'une partition à l'autre, la même radicalité et la même foi dans la puissance de la fiction.

 

Radios :

RTS, Entre-les-lignes, 21.05.2013 extrait  (> sur le site RTS)

RTS, Zone critique, 31,05.2013 extrait  (> sur le site RTS)

RTS, le journal du samedi, Quartier-livres, 01.06.2013, extrait

 

Blogs:

Le Blog de Francis Richard, 20 mai 2013


Skoda

 
Modes et travaux, septembre 2011: Une sorte de fable réaliste qui touche la vérité du doigt. Olivier Sillig y met beaucoup de chaleur et d’espoir.

Le Monde des Livres, Philippe-Jean Catinchi, 26 août 2011 : Juste le récit d'un acte d'amour sans concession dont le pari tient l'homme debout.

La Libre Belgique, 22 août 2011 :  Il signe avec "Skoda" un (très) court roman à l’écriture nue. Mais saisissante. (Fr.M.)

Le Temps, Isabelle Rüf, Samedi Culturel du 3 septembre 2011 : Ici, avec peu de mots, il a écrit son livre le plus fort.

Le Courrier, Anne Pitteloud, 3 septembre 2011: Cette extrême sobriété du style reflète aussi l’urgence qui habite son personnage – rien d’inutile ici, aucune fioriture: survivre exige de se concentrer sur l’essentiel.

Vigousse, le 2 septembre 2011 : Dans Skoda, le Lausannois Olivier Sillig signe un court roman qui prend aux tripes. La fin est superbe, le reste n'est pas mal non plus (B.L.).

L’Hebdo no 36, Julien Burri, 7 septembre 2011 : Ce livre très émouvant donne à ressentir les corps, les bruits, les odeurs, sans pathos. Sillig n’a jamais été aussi bon que dans cette forme épurée. La folie de la guerre y est donnée à voir par des images saisissantes, comme le final, très cinématographique.

Le Nouvel Observateur,  Claire Juillard,  8 SEPTEMBRE 2011 - n° 2444
 :  Un conte poignant zébré d'éclairs lumineux.

 

La Liberté, Jacques Sterchi, 10 septembre 2011 : On n'accusera pas l'écrivain vaudois d'exercice de style, mais l'on regrettera quand même un manque d'ardeur dans l'écriture. Tout cela reste bien poli.

Le Culturactif, Elisabet Vust, 16 septembre 2011 : Une fable sur la guerre dans notre monde. En Europe ou ailleurs. L’absurdité et l’horreur du quotidien. Contrebalancées par la beauté du lien qui se crée entre l’homme et l’enfant. La vie contre la mort.

 

La Croix, Corinne Renou-Nativel, 10 novembre 2011 : Les dernières pages donnent au récit l'allure d'une fable et confèrent tout son sens à ce texte percutant et efficace.

 

L'Express, Le Nouvelliste, 5 décembre 2011 :  Dans une écriture concise, Olivier Sillig décrit la guerre, les sacrifices, la beauté et la fragilité de la vie.

 

La Gruyère, 5 décembre 2011 : Jusqu'à cette chute un rien facile et naïve, qui empêche de s'enthousiasmer franchement.

 

Radios et télévisons :

RSR1, Devine qui vient diner, 28 août 2011
Radios francophones, La librairie Francophone, 3 septembre 2011
RSR2, Zone Critique, 9 septembre 2011
RSR2, Entre les Lignes, 26 septembre 2011

FR2, Telematin du 8 novembre 2011 : Il y a des moments d’un humour absolument exquis […] et la fin est absolument délicieuse. (sic)

TV5 Monde, 15 mars 2012

TV 22 Agencia, Mexicó, 4 de octubre 2015  :  El escritor suizo Olivier Sillig presentó el pasado domingo 4 de octubre a las 12 :00 horas en el Palacio de Bellas Artes la primera edición en castellano de su novela Skoda.


Blogs :

Quand Babelio rencontre les éditions Buchet Chastel :  Il y a aussi des textes qui n’ont pas connu le même succès, mais qui sont comme des marqueurs de la collection – « Du plomb dans le cassetin » de Jean Bernard-Maugiron ; ou « Skoda », d’Olivier Sillig (Pascale Gautier, éditrice du domaine français des éditions Buchet-Chastel, 8.10.2015).

Les multiples blogs parlant de Skoda

 


La Cire perdue

 

LE PHARE, centre culturel suisse – paris, No 2 (mai – septembre 2009), Isabelle Rüf : Certainement son livre le plus ample et le plus abouti.

La Liberté, Jacques Sterchi, 6 juin 2009 (repris par Le Courrier du 27 juin):  La Cire perdue est un conte qui se lit avant tout dans une sorte de joyeuse hallucination.

Le Temps, Eléonore Sulzer, samedi culturel du 21 juin 2009 : Roman épique, roman d’apprentissage, conte humaniste, La Cire perdue d’Olivier Sillig se nourrit de tout cela.

La Gruyère, Charly Veuthey, 16 juillet 2009 : Ce livre, qui mêle allégrement les genres, est séduisant, même s’il explore parfois des mondes troubles.

Radio :

RSR2 - Lectures croisées - 07-05-20 (extrait sonore .wav) : Inclassable ? Non, classable dans les mauvais romans de la saison (Sylvie Tanette).

 

 

Schule der Kaukler           

    F.A.Z (frankfurter allgemeine zeitung) Beate Tröger, 26.05.2011 :  Nach allen Regeln der Verführung.

 


Lyon, simple filature

DAUPHINÉ LIBÉRÉ, Livres, Thierry Hubert, 26 mai 2008  : Cette enquête autour de l'absence, c'est presque la matrice ou l'épure du roman policier, mais aussi l' exploration sensible des détresses de l'enfance.

Radio Suisse Romande 2, 29 mai 2008, Jean-Louis Kuffer chez Louis-Philippe Ruffy, Entre les lignes : Oui, c'est un roman improbable. Improbable comme la vie!

Le Temps, Samedi Culturel du 31 mai 2008 : Olivier Sillig signe un texte doux et attachant.

Le Cri du Hibou No 12, été 2009 (Prix Bibliomedia) : Une histoire sensible, une trame très crédible et une grande humanité dans la description des personnages.


Deux bons bougres

Le Temps, mardi 25 avril 2006 : L'auteur a trop mis dans ce livre : l'horreur des guerres, la misère des campagnes, la rudesse des traversées, le scandale de l'extermination des Indiens, l'ignominie de la colonisation et de l'esclavage. Mais son roman tient par son rythme et sa générosité même.

DAUPHINÉ LIBÉRÉ, Livres, Thierry Hubert, 5 juin 2006 : Par sa simplicité, sa façon délicate d'aborder le monde, ce roman d'Olivier Sillig plonge au cœur de la triste et éblouissante condition humaine.

24 Heures, mardi 13 juin 2006 :  C'est comme si Sillig, toujours émerveillé par les romans d'aventure qu'il lisait enfant, avait décidé de les réécrire, de les «corriger» pour qu'ils s'approchent au plus près de la vie. Cela suffit-il à donner de l'épaisseur à son récit?
LE PASSE-MURAILLE - No 70 Juillet 2006 : la plume alerte et imagée, les descriptions vivantes et surtout le ton étonnant qui laisse la lumière, l'amour, le sens de la réparation, la liberté, la vie en un mot éclater de bout en bout en font un roman exceptionnel.
Radio :

RSR, Prix des auditeurs 2007, les six auteurs retenus : extraits


Je dis tue à tous ceux que j'aime

  Webzine, 8 mars 2005 : Difficile de dire "génial", impossible de dire "j'aime pas", la seule chose certaine dans cette histoire, c'est qu'on lit d'une traite "Je dis tue à tous ceux que j'aime"!

Fugues magazine 30.03.2005, Benoît Migneault : Un roman surréaliste et déstabilisant qui pique la curiosité du lecteur...

   Le Temps, Jeudi 14 avril 2005 /  Bouquet garni, Isabelle Rüf : Un récit moins poétique que les précédents mais tout aussi étrange.

   Dauphiné libéré, 18 avril 2005 / Livres, Thierry Hubert : Un beau roman à lire peut-être dans la salle d’attente d’une gare routière, dans l’ombre jaune d’un éclairage artificiel là où la vie se ramasse sur elle-même.

Le Culturactif, mais 2005, le livre du moi, critique, Francesco Biamonte : Excellent livre que le troisième roman d'Olivier Sillig. L'intrigue est relativement simple, le nombre de personnages restreint, le style simple et précis. [...] Entre roman d'amour, polar, nouvelle fantastique et conte moral.

24 Heures, samedi 16 avril 2005, Un conteur dans les marges, Jean-Louis Kuffer : Polar aux dehors de rêve éveillé, roman d'un impossible amour, nouvelle variation sur le thème ancien du double sacrifié: il y a de tout ça dans ce roman trouble et pur d'un auteur à surveiller…

LE PASSE-MURAILLE - No 68 Août 2005: Si la première partie fascine, tisse une atmosphère envoûtante, ambiguë, où tous les possibles restent ouverts, la deuxième n'échappe pas à un voyeurisme cru et sans épaisseur...

VIDÉO : SÉLECTION DU PRIX TSR DU ROMAN, Télévision suisse romande, 4 décembre 2005, Sang d'Encre, Florence Heiniger  : interrogeant manipulation et crime, cette fable « Je dis tue à tous ceux que j'aime » est un transbordement vers d'autres choix existenciels...

Forum de Prix TSR : ... Tout compte fait, un très bon roman. Parole de lectrice qui n'aime ni la science fiction, ni la BD, ni le huis clos. (Anne-Marie)

Le Temps, Samedi culturel, samedi 22 avril 2006, le choix du libraire Le livre de l'écrivain lausannois Olivier Sillig est une fable, un chemin initiatique parsemé d'embûches d'un homme à la découverte de lui-même.

La Liberté du 8 juillet 2017, Thierry Raboud : tout est flottant  dans ce drame drôle et cocasse qui, s’il est nimbé  d’absurde, n’en est pas moins très humain et  singulièrement beau.

Vigousse, 1 septembre 2017, Stéphane Babey : … un style limpide et une progression implacable happe le lecteur dans un rêve fiévreux à la séduction vénéneuse.

L’Impartial, jeudi 26 octobre 2017, Étienne Deslaumes : Le roman d’Olivier Sillig renferme une tension, celle de l’attente et du désir.


La Marche du Loup (Encre Fraîche 2004)

 Radio Suisse Romande, 16 novembre 2004, Isabelle Ruf, Cafe des arts : L'écriture, fait de phrases brèves, souvent sans verbes, imprime un rythme qui tient véritablement en haleine.

Radio Suisse Romande 2, 17 novembre 2004, Louis-Philippe Ruffy, Entre les lignes : La Marche du loup sait entremêler le quotidien et la fable, pour nous placer à la frontière de nos semblables.

Dauphiné Libéré, 20.11.2004 / rubrique LIVRES, Thierry Hubert : Olivier Sillig connaît les chemins qui nous ramènent à l’essentiel, sans détours.  

   Le Temps, Samedi culturel, 4 décembre 2004 / Retour à l'an mil, Isabelle Rüf : Après avoir mené son récit à toute allure, il boucle le cercle de la guerre et des meurtres en laissant entrevoir une petite lueur d'apaisement dans l'égarement des hommes.

  24 Heures, 10 décembre 2004 / Mon Choix, Claire Philippe, J.-L. K.  : Il y a du roman d’aventures échevelé, et de la fable aussi, dans ce livre captivant du Lausannois Olivier Sillig.

24 Heures, jeudi 30 décembre 2004 / Encre Fraîche ravive la SF romande, Jean-François Thomas : La marche du loup par son rythme lancinant, la musique de ses mots, les événements bizarres qui le parsèment appartient ouvertement au registre des récits fantastiques. Un livre envoûtant.

  Le Passe-muraille, No 63, janvier 2005 / Main-courante (PYL) : Une espèce de faux picaresque car sans discours, sans morale (presque), sans dérision, minimaliste...

Télévision Suisse Romande, 27 février 2005 Sang D'Encre : ...magnifique conte cruel d'un enfant loup dans un univers barbare, illuminé de merveilleux.
                                                                                     La vidéo : > TSR, Sang d'Encre, 27.3.05

  Courriels : Puis… miracle ! Olivier Sillig réussit contre toute attente à nous installer au cœur de cette histoire abracadabrante.

  Le Matin, 29 avril 2005, Florence Heiniger interviewée par Aimé Corbaz : Le livre que vous auriez voulu écrire? «Les bébés...» Ou «La marche du loup» d'Olivier Sillig. C'est un conte cruel, un roman qui se passe en l'an mille. C'est une sorte de barbarie humaine, une histoire entre des enfants et des loups sur fond de pillages, de beuveries, de viols. J'aurais aimé écrire ce roman qui parle de l'égarement des hommes, de l'instinct de survie. On parle d'hommes à la guerre, de femmes en détresse. C'est beau.

Le Temps du 28 avril 2007:  Les cinq romans suisses qu'il faut avoir lus dans sa vie.

Blog :


La Marche du Loup en Poche (Florides Helvètes 2023)

La Liberté, Thierry Raboud, le 1 juillet 2023 : violent, saisissant. Quels joyaux dorment encore dans les tiroirs d’Olivier Sillig ?

 

Le Courrier, reprise Tr/Lib, le 7 juillet 2023envoûte par son atmosphère rehaussée de fantastique. 

 

Bon pour la tête,  journal en ligne, le 28 juillet 2023 : Il y a là beaucoup d’intelligence, c’est envoûtant.

 


 Bzjeurd

Extraits :
1995  Éditions à L'Atalante

·       Le Dauphiné-libéré, Thierry Hubert, 3 avril 1995: Nous émergeons de ce livre comme un plongeur des eaux profondes, avec pour longtemps en mémoire la vision de merveilles et d'épouvantes.

·       Le Magazine littéraire, Philippe Curval, no 332, mai 1995 : Auteur minimaliste, Sillig nous séduit d'emblée par son épopée esthétique.

·       À SUIVRE, J.W., no 208, mai 1995 : Ce livre au ton inhabituel est servi par une écriture froide et distanciée, et témoigne d'une maîtrise étonnante.

·       La Recherche, Michel Pebereau, no 276 : Un monde original, étrange, et à vrai dire assez angoissant.

·       L'année de la fiction 1995 : Dès son premier roman, Sillig atteint une maturité d'écriture qui la place haut.

·       Le Matin, Pascal Busset, 8 juin 1995 : Un livre haletant, une odyssée solitaire dans un paysage de chaos, hallucinant.

·       24HEURES et TRIBUNE DE GENÈVE, Jean-François Thomas , 24-25 juin 1995 : Olivier Sillig réussit là, avec son premier roman, une oeuvre de SF étrange et forte.

 

2000  Édition en Folio

Magazine littéraire, Philippe Curval, no 392, novembre 2000 : Le numéro 26 de la collection propose Bzjeurd, d'Olivier Sillig, dont j'ai déjà dit ici tout le bien que je pensais. Cette œuvre étrange pousse jusqu'au dépaysement total le questionnement sur la vraisemblance du réel, fonds de pension de la science-fiction moderne.

24HEURES,  Jean-François Thomas, 27 novembre 2000 :
Parmi les  livres retenus à l'Atalante, c'est le  cas   de  l'insolite  Bzjeurd  du  Suisse Olivier Sillig,  récit de vengeance déroutant dans  un décor  boueux à  souhait, servi  par une   écriture   originale.

LE TEMPS, Nicolas Dufour, 17 février 2001 : même les lecteurs les plus récalcitrants aux atmosphères de fantasy se laisseront envoûter par cette remarquable écriture, tout à la fois précise et éthérée, mise au service d'un univers dont l'auteur trace avec talent les lignes de fuites.

  


Articles généraux

Olivier Sillig

·       Le Portrait, 24 Heures, Jean-Louis Kuffer, 14 décembre 2009  : Jusqu’à sa façon d’esquiver toute explication «logique», le conteur se montre fidèle à lui-même, slalomant entre émotions fortes et aventures révélatrices, érotisme et transgression, courts-métrages ancrés dans notre temps et récits fantastiques.

  • Bourse à l'écriture du Canton de Vaud 2002, communiqué de presse,  14.04.2009 : Il y développe des univers très différents, situés dans des temps et des espaces souvent imaginaires ou déformés par l'angle de vue - terres sauvages ou villes inquiétantes. Son oeuvre est pourtant d'une grande cohérence grâce à son écriture au minimalisme coloré et à son réalisme fantastique. En outre, son amour des êtres, des enfants en particulier, son respect de l'individu, son audace à peindre la violence et l'intégrant toujours à un univers complexe en font un romancier de l'équilibre, voire de la résilience. Déjà l'un des plus importants romanciers vaudois de notre temps. 

 

  • 360°, N° 103, Julien Burri, février 2011 : Ce foisonnement créatif n'est pas que joyeux. Une pointe de tristesse affleure, «congénitale», paraît-il. Pourtant le créateur ne se laisse pas désarçonner par ses échecs. [...] Sur son site internet, on peut lire: «Le chemin est caillouteux. Heureusement, il est aussi imprévisible et sinueux. C'est ce qui rend le rend amusant.»

 


Courriel de l'auteur:  info@oliviersillig.ch

H-page de l'auteur:   http://www.oliviersillig.ch

V:11.12.23 (V0: 08.08.2005)

 

 

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