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Une fois, dans les années cinquante
peut-être. Dans le Marais, sans doute. Un quartier de viande, de charcuteries
entrelardées de têtes de veaux vinaigrettes. Gens bons, les deux Dodus, Eve et
Jean, sont retrouvés, gorge tranchée dans une tranchée. Le commissaire Confit
doit alors démêler un fil d’Ariane qui le conduit ici, avant, après, ailleurs.
Pas un polar mais une piste sur
pavés gras, rebondissant entre lettres perdues, mille et une nuits et mots en
pagaille. Un roman pas du tout vegan. Un polar calembourique.
On croit connaître Olivier Sillig, ce grand romancier, sait-on qu’il est polyvalent ou touche à tout, cet écrivain qui a réalisé des films, créé des sculptures, des assemblages et des installations ? Il invente des machines, il slame. Et il a publié dix romans de science-fiction, d’aventures ou policiers.